Désignation appliquée aux légendes
des monnaies et des sceaux voire d’autres objets. L’écriture
circulaire partage une même finalité avec l’[écriture exposée]: c’est un écrit destiné à être
vu. Elle s’en différencie toutefois par sa disposition le plus souvent
suivant une ligne courbe et par sa petite voire très taille. De fait,
ce type d’écriture n’est pas forcément visible collectivement par un
large public. L’écriture circulaire doit être considérée en rapport
avec les éléments graphiques qu’elle encadre ce qui pose la question
de sa réception. Michel Pastoureau se demande s’il s’agit vraiment
d’une écriture à lire.
[PASTOUREAU (Michel), « Un texte-image : l’écriture
circulaire », dans ](https://api.zotero.org/groups/2283257/items/VQ42LG46)ID., Couleurs, images, symboles. Etudes d’histoire et
d’anthropologie, Paris, 1989, p. 125-137